DE L'ARCHITECTURE AU CINÉMA
Diplômé de l’école d’architecture de paris La Villette en 2008 Alexandre commence à travailler comme architecte et intègre en 2009 le cabinet « Lumière-Studio » de la conceptrice lumière Odile Soudan ainsi que le Studio d’Architecture Jean Nouvel en 2012.
Sur une voie parallèle, à dix-sept ans il débute avec son frère jumeau Victor une carrière d’acteur dans le film « Les Fautes d’orthographe » de Jean Jacques Zilbermann. En 2003, après avoir interprété un premier rôle dans le court-métrage « Bébé requin » de Pascal Alex Vincent primé en sélection officielle au festival de Cannes, il est en octobre 2006 dirigé par le même réalisateur pour un premier rôle dans le film « Donne moi la
main » qui sera primé en 2009 par le MoMA’s International Film Festival a new York ainsi qu’au New film New director festival de Chicago. En 2011, Alexandre incarnera avec son frère les bras armés de Moriarty dans le film « Sherlock Holmes_ Game of shadows » de Guy Ritchie a la suite duquel il défilera pour le
« défilé Prada_il Palazzo FW 2012» après avoir intégré l’agence Marilyn celebrities. En 2015, le film « André » De Jonathan Gallaud dans lequel il incarne le rôle de Jenny est récompensé du premier prix du festival film audacieux de jean pierre Mocky.
Ces experiences entant que comédien attisent son goût pour la
réalisation . Parti vivre en argentine en 2007, il réalise la fiction documentaire « niños salvajes » à Buenos Aires sur l’errance des enfants de la rue. A son retour en 2008 il met en scène son premier clip « XIII e nuit » pour le groupe de hip hop «Hopestacle» et entame la réalisation d’une série de films de mode pour la ligne « Isnotdead » designée par son frère Victor ainsi que pour la ligne de manteaux « StudioOath ». C’est aujourd’hui en 2018 qu’il réalise pour le designer prometteur Alphonse Maitrepierre le film court « Les Bourgeoises bourgeonnent ».
Dans le cadre de sa profession d’architecte, Alexandre cofonde le collectif d’architecture « INCAA » en 2015 grâce auquel il se spécialise dans la conception de cinémas multiplexes et arrivera second au concours du futur multiplex géant de Cannes.
Ces expériences parallèles lui confèrent une conception de l’art et de l’architecture comme une élévation de soi et de sa sensibilité par une multiplication de disciplines et de techniques positionnant toujours l’Homme comme sujet central. C’est par cette vision existentialiste et situationniste des arts qu’il monte en 2016 le collectif d’évènementiel « La Toilette » conjuguant au sein un théâtre de vie, la musique, la danse et la performance.